C’est l’histoire de...

Qui suis-je ?

Je suis François Madelaine, marié, 3 grands enfants et je vis sur la Côte sauvage des Sables d’Olonne en Vendée, un spot très agréable et inspirant pour l’entrepreneur dans l’âme que je suis.

Ma vraie rencontre avec le Web remonte à 2006, lorsque j’ai fait prendre un virage à 360 degrés à ma vie professionnelle.

 

 

Quand l'envie de changement se fait sentir.

J’étais alors consultant auditeur indépendant en marché public assurances auprès des collectivités territoriales, une activité dans laquelle je ne m’épanouissais plus particulièrement.

Donner un nouveau souffle à ma vie professionnelle et à ma vie personnelle par la même occasion, était devenu une obsession. J’aspirais à développer un business qui laisse libre cours à la création, aux rencontres, aux échanges, à la découverte… Un business qui ne laisse pas ou laisse peu de place à la monotonie et dans laquelle le mot polyvalence prend tout son sens.

Si l’envie de changement était bien présente et forte, j’ignorais encore dans quel domaine d’activité allait me mener cette reconversion. Curieux avec une insatiable soif d’apprendre et d’acquérir de nouvelles compétences, j’ai alors recherché les opportunités et observé les tendances du moment.

François MADELAINE - FM Webmaster

François MADELAINE
Webmaster autodidacte et passionné mais surtout entrepreneur

L'émergence du web 2.0

Dans le début des années 2000, Internet n’était pas encore perçu comme un outil réellement sérieux, surtout dans le monde de l’industrie. Il apparaissait pour beaucoup comme étant un simple gadget. Et, pourtant, sa croissance a été explosive, fulgurante. De dix millions de sites internet au début des années 2000, on en comptait plus d’un milliard en 2015 et quasiment 2 milliards en 2022 ! 

Rapidement, le Web a suscité de vifs intérêts et s’est démocratisé. De nombreux nouveaux métiers du Web ont alors émergé. Internet est apparu comme un nouvel espace de liberté d’expression, de communication et un nouveau moyen de faire du commerce. Internet est devenu le nouveau champ des possibles. 

J’ai rapidement su que j’avais potentiellement une carte à jouer dans la sphère du numérique qui sans nul doute allait encore évoluer et ouvrir de nouvelles perspectives à qui voulait bien s’en donner la peine. Il m’appartenait de trouver la voie qui serait la mienne.

Quand on veut, on peut

Pour être parfaitement honnête, en 2006, à part surfer sur la toile, je ne connaissais absolument rien ni à la programmation, ni au codage, ni au référencement. Mais, comme disait Gustave Le Bon, « On peut toujours apprendre ce que l’on ne sait pas« .

Autodidacte, j’ai parcouru de nombreux ouvrages pour me former au développement web et aux différents langages utilisés. Puis je me suis mis à disséquer des sites internet pour en appréhender les subtilités techniques avant de créer des petits sites d’abord sans prétention, puis au fil du temps et des compétences que je pouvais acquérir, des sites de plus en plus structurés.

Le premier site que j’ai mis en ligne publiquement était un site e-commerce sur lequel je vendais du petit matériel high-tech. La magie du Web a opéré et les premières ventes sont tombées. Bien sûr, ce site avait un volume d’affaires bien modeste comparé aux mastodontes de mon marché, cependant l’expérience s’avérait concluante et encourageante.

C'est en forgeant que l'on devient webmaster

Comme disait l’auteur Mofaddel Abderrahim, « Quand une opportunité se présente, considérez-la comme unique, saisissez-la et agissez. »

Animer et développer la visibilité d’un site Internet, c’est savoir l’alimenter régulièrement par des articles de blog, par exemple, et au sens plus large, par du contenu de qualité.

Le hasard faisant parfois bien les choses, Ouest France cherchait un correspondant de presse pour couvrir l’actualité de la commune dans laquelle je venais d’emménager. Cette opportunité tombait a bien nommé puisqu’elle allait me permettre d’acquérir de nouvelles compétences en matière de rédaction. J’ai postulé et ma candidature a été retenue.  Quelques mois plus tard, j’ai également rejoint un second journal local hebdomadaire de ma région.

Je prenais un réel plaisir à couvrir la vie locale, à interviewer des profils très différents les uns des autres. Je me suis découvert une véritable passion pour l’écriture. Il n’y avait qu’un « petit » pas à franchir pour faire un lien avec la création d’un site web.  J’ai alors créé mon premier webzine interactif dont le modèle économique était indexé sur la vente d’espaces publicitaires. Cette vitrine m’a permis de réaliser quelques sites pour des artisans, un disc-jockey, un paysagiste, un site de location de vaisselle…

Comme on dit, c’est en forgeant que l’on devient forgeron. Je ne fais pas exception à la règle : je me suis perfectionné et j’ai acquis de nouvelles compétences au gré de mes nouvelles réalisations.

Puis d’autres projets ont vu le jour dont la création d’une société d’édition de magazines riche en rencontres, en expériences et d’enseignements.

Malheureusement, ma santé a été gravement mise à mal en février 2015, un grain de sable qui est venu se mettre dans les rouages de cette belle aventure et y mettre un terme en seulement quelques mois puisque c’est la mort dans l’âme que nous avons en janvier 2016 publié notre dernière parution

Après la pluie, le beau temps

Je vous fais grâce des détails inintéressants de cette période noire que j’ai considérée quelque temps comme étant un échec jusqu’au jour où j’ai lu cette phrase du conférencier Zig Ziglar : « L’échec est un détour, pas une rue sans issue. »

Cette vérité débordant de sens m’a reboosté. Ma maxime de vie aujourd’hui est : « Aime ce que tu fais et fais ce que tu aimes. » Et, moi François, ce que j’apprécie de faire entre autres, c’est écrire, construire des sites Internet, développer des activités en ligne, coder, apprendre, transmettre…

Ni une ni deux, je me suis remis en selle : je développe des sites web, pour des clients, mais également pour moi.

Chaque nouveau projet, ou presque, fait appel à de nouvelles connaissances, des nouvelles ressources et compétences. Je continue donc sans cesse à enrichir celles-ci pour satisfaire aux besoins et aux attentes de ma clientèle.

Le syndrome de l'imposteur

En toute humilité, étant autodidacte, j’ai longtemps ressenti le fameux syndrome de l’imposteur appelé aussi syndrome de l’autodidacte qui se manifeste par un sentiment auto-entretenu de doutes en soi-même et ses compétences.
Et, pourtant, c’est connu et reconnu que l’autodidacte est doté d’une facilité à apprendre lorsqu’il est passionné et qu’il jouit de facultés qui le rendent d’autant plus performant et spécialiste dans son domaine d’expertise.

Sans trébucher par excès de confiance, je peux cependant aujourd’hui, me prévaloir, en toute modestie, avoir acquis un champ de connaissances, de compétences et d’aptitudes pour promouvoir via mes services via fmwebmaster.net.

 

Assez parlé de moi. Si l'on parlait de votre projet maintenant ?